Titre : | Clinique projective et corps en souffrance (2013) |
Auteurs : | PHEULPIN Marie-Christine, Aut. |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (170, 2013) |
Article en page(s) : | 44-47 |
Note générale : | Bibliogr. |
Mots-clés : |
SANTEPSY TEST PROJECTIF ; PATHOLOGIE SOMATIQUE ; SOUFFRANCE PSYCHIQUE ; CLINIQUE ; RECHERCHE ; DOULEUR ; PSYCHOPATHOLOGIE ; CORPS ; EVALUATION ; PRISE EN CHARGE ; MENTALISATION ; PROCESSUS PSYCHIQUE ; PSYCHOLOGUETHEMES PSYCHANALYSENOMP TEST RORSCHACH ; TEST TAT |
Résumé : | Proposer des épreuves projectives à un patient hospitalisé en service de médecine ou de chirurgie peut sans doute surprendre. En effet, si le recours aux épreuves projectives semble aller de soi lorsque la souffrance psychique, bruyante ou muette, inquiète, il peut quelque peu étonner lorsque le corps et ses symptômes, en occupant le devant de la scène, constituent la préoccupation majeure du patient comme des soignants. Dans ce contexte, deux objectifs peuvent pourtant amener le psychologue clinicien à proposer des épreuves projectives : l'un est strictement clinique, l'autre conjugue clinique et recherche. [d'après le texte de l'auteur] |
En ligne : | http://dx.doi.org/10.3917/lcp.170.0044 |