Titre :
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Etude des troubles psychiatriques et des modalités défensives évaluées par le Defense Style Questionnaire (DS2) dans un échantillon d'hommes stériles consultant en andrologie (2005)
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Auteurs :
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BELLONE M, Aut. ;
COTTENCIN O, Aut. ;
RIGOT JM, Aut. ;
GOUDEMAND Michel, Aut.
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Type de document :
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Article
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Dans :
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ENCEPHALE (4 cahier 1 vol 31 , 2005)
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Article en page(s) :
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414-425
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Note générale :
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69 Réf.
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Mots-clés :
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SANTEPSY
HOMME
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STERILITE
;
CONSULTATION
;
MEDECIN
;
ENDOCRINOLOGIE
;
PSYCHIATRIE DE LIAISON
;
PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE
;
DEPISTAGE
;
DSM
;
MECANISME DE DEFENSE
;
AUTOEVALUATION
;
PRONOSTIC
;
VULNERABILITE
;
QUESTIONNAIRE
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Résumé :
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Notre étude avait pour objectif d'étudier l'état psychiatrique d'un échantillon d'hommes infertiles consultant en andrologie, d'évaluer les styles de défense au moyen du Defense Style Questionnaire version 88 items, de rechercher une différence entre les modalités défensives selon leur statut clinique d'azoosperme ou d'oligoasthénosperme et de mettre en évidence une corrélation entre les troubles psychiatriques développés dans cet échantillon et les modalités défensives utilisées. Résultats Nous avons retrouvé dans notre échantillon 26,2 % de troubles psychiatriques selon le DSM IV avec une sur-représentation significative du trouble anxieux généralisé et du trouble somatisation. La comparaison entre patients azoospermes et oligoasthénospermes révélait l'absence de différence significative en ce qui concerne la morbidité psychiatrique et l'utilisation des modalités défensives. Notre échantillon se défendait selon des modalités proches de la population générale et utilisait des mécanismes de défense appartenant préférentiellement au style de défense dit mature, tels que l'humour, la répression et l'anticipation. La pathologie psychiatrique était significativement corrélée avec l'utilisation préférentielle du retrait, de la consommation, de la formation réactionnelle et au défaut d'utilisation de l'humour. Nous confirmons dans notre étude que les sujets qui utilisent préférentiellement le style de défense névrotique sont plus susceptibles que les autres de développer un trouble psychiatrique. Conclusion Notre étude confirme qu'il est difficile de savoir si certains mécanismes de défense sont des facteurs de vulnérabilité à un trouble psychiatrique donné ou si les mécanismes de défense constituent un épiphénomène d'un trouble psychiatrique particulier. Il est nécessaire de réaliser des études complémentaires prospectives qui pourraient permettre d'établir un lien entre les mécanismes de défense et une pathologie psychiatrique donnée. La connaissance des modalités défensives d'un échantillon d'hommes stériles utilisées dans un contexte psychothérapeutique pourrait prévenir l'émergence de troubles psychiatriques ou pour le moins les anticiper.[résumé d'auteur]
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En ligne :
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http://www.em-premium.com/article/83339/article/etude-des-troubles-psychiatriques-et-des-modalites
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