Résumé :
|
Il s'agit presque toujours d'une femme. Et quand c'est un homme, on se rend compte, qu'il occupe de ce fait ce que Freud appelle une "position psychique" féminine. Une femme. Il s'agit presque toujours d'une femme. Qui est malade. Quand on la voit, on a même souvent l'impression qu'elle est très malade. Pourtant, elle ne paraît pas s'en plaindre. Parfois,elle refus emême qu'on la soigne, qu'on s'occupe d'elle, parce que, dit-elle,elle se porte très bien. Mais on finit par s'apercevoir, parfois rapidement, parfois au bout seulement de plusieurs années, qu'il s'agit de bien curieuses maladies. Ainsi s'introduit ce mal, anorexies "vraies", pathologies "factices" (Münchhausen, Lasthénie de Ferjol, pathomimes, etc.) qui touche essentiellement des femmes faisant sacrifice de leur corps et monstration de leur ravage, ici décliné à la mode de la perversion. (résumé d'auteur)
|