Titre :
|
Vaut-il mieux être un malade Alzheimer, usager d'un système de soins, qu'un patient dément, oublié par la démocratie sanitaire ? Le point de vue du psychiatre du sujet âgé (2010)
|
Auteurs :
|
HAZIF THOMAS Cyril, Aut.
|
Type de document :
|
Article
|
Dans :
|
NPG : NEUROLOGIE, PSYCHIATRIE, GERIATRIE (59 vol 10, 2010)
|
Article en page(s) :
|
197-203
|
Mots-clés :
|
SANTEPSY
DEMENCE
;
ETHIQUE
;
SOIN
;
PERSONNE AGEE
;
PSYCHOGERIATRIE
;
MALADIE D'ALZHEIMER
;
VIEILLISSEMENT
;
DROIT
|
Résumé :
|
La maladie d'Alzheimer est à la fois un fléau et un défi qui affectent l'intégralité de la société et pas seulement pour des raisons de démographie sanitaire. De nombreuses questions éthiques sont posées par la maladie. Un médecin doit-il se placer selon le point de vue et la demande du malade ou reste-il dans l'optique de sa spécialité ? La question est tranchée par la loi et la personne de confiance est là pour aider à suppléer les capacités cognitives défaillantes. Le sens du soin du malade dément est le soutien du combat de la personne pour rester maître de son self. Le patient Alzheimer doit rester un citoyen à part entière et demeurer un partenaire actif dans le soin. La lucidité relationnelle est le socle qui permet d'asseoir le soin pour soutenir une dignité et une identité mises à l'épreuve par la maladie.[résumé d'éditeur]
|
En ligne :
|
http://www.em-premium.com/article/267965
|